J’ai écrit cette histoire en décembre 1995 et l’ai envoyée à mes amis comme Voeux pour le Nouvel-An. Elle s’est ensuite répandue sur internet et a été reprise sur de nombreux sites. Parfois avec mon nom, parfois sans nom (anonyme), parfois avec une mention très flatteuse (par ex. « vieux conte tibétain ») parfois aussi avec le nom d’autres personnes (merci aux personnes concernées de respecter mon droit d’auteur).
Mais en même temps, comme me l’a fait remarquer judicieusement un internaute: « Une fois envolée, une histoire ne nous appartient plus. Elle va où le vent la porte et si elle est porteuse de sagesse, elle appartiendra à celles et ceux qui la porteront dans leur coeur. » Merci pour cette très belle remarque.
D’ailleurs, sait-on d’où vient l’inspiration quand on écrit une telle histoire ? Peut-être qu’en s’envolant elle ne fait que retourner à sa source.
Plusieurs personnes m’ont proposé des traductions de cette métaphore et je les en remercie chaleureusement.
Pour l’instant, ce texte a été traduit en anglais: Three Gates of Wisdom, en grec moderne: Οι 3 Πύλες της Σοφίας, en néerlandais: Drie Poorten van de Wijsheid, en roumain: Cele trei Porti ale Intelepciuni et en italien: Le Tre Porte della Sagezza. Ces traductions se trouvent dans la rubrique Sagesse.